Dans un contexte chahuté à l'international et instable en France, la CPME rappelle l’essentiel : former rapidement un gouvernement, donner de la visibilité aux entreprises et mener une politique économique pro-entreprise. Soutenir l’entreprise, c’est protéger l’emploi, l’investissement et la cohésion des territoires - et c’est la condition d’un redressement durable.
Il a également fustigé les actes de violences suite aux blocages du 10 septembre :
« Ça me met hors de moi qu'on attaque des commerces, des usines, des entreprises ! Derrière, ce sont des entrepreneurs qui ont mis leurs économies dedans. »
La CPME plaide pour un budget 2026 qui n’augmente ni le coût du travail ni les prélèvements obligatoires, et pour une réforme de l’action publique. Elle ouvre aussi le débat sur un financement du modèle social qui ne pèse pas uniquement sur les entreprises et les actifs, afin de redonner du pouvoir d’achat et de libérer l’investissement :
« On doit libérer l’énergie de l’entreprise et permettre aux salariés de gagner plus… il faut revoir le financement de notre modèle social. » a estimé Amir Reza-Tofighi
À lire et écouter :
- Radio Classique (Amir Reza-Tofighi, président de la CPME)
- Franceinfo (Gaëtan de Sainte Marie, secrétaire confédéral de la CPME)
- France Inter (Olivier Ducatillon, membre du comité exécutif de la CPME)
- TF1 (Catherine Guerniou, vice-présidente de la CPME)
- Franceinfo (Virginie Faivet, membre du bureau de la CPME)